le superviseur unique ne suffit plus : la complexification, répartition, distribution des systèmes d’information (virtualisation, cloud…) met l’exploitant de la supervision au cœur de nombreux éléments et flux (hardware, réseau, systèmes d’exploitation, applications).
la DSI doit rendre des comptes : des comptes rendus d’activité et de fonctionnement au même titre que les autres services de l’entreprise.
cela permet de fournir états et disponibilité de façon uniquement technique.
la vision « à plat » ne reflète pas la réalité : les outils de supervision actuels ne fournissent pas ou mal la vision à plusieurs dimensions des SI actuels (arborescences de type parents-enfants, dépendances des ressources…).
la cause première d’un incident ou d’un problème n’est pas identifiable : les outils actuels ne permettent pas de remonter à la source d’un dysfonctionnement et de calculer ses impacts sur la globalité de la production informatique.