Définir le module livestatus
Commencez par examiner le fichier /etc/shinken/shinken-specific.cfg pour ce module:
define module{
module_name Livestatus
module_type livestatus
host * ; * = listen on all configured IP addresses
port 50000 ; port to listen on
database_file /var/lib/shinken/livestatus.db
}
Avec ces paramètres:
module_name: nom du module appelé par les brokers
module_type: livestatus
host: interface IP à écouter. La valeur par défaut est *, ce qui signifie « écouter sur toutes les interfaces. »
Port: le port TCP à écouter.
socket: socket Unix à écouter.
database_file: le chemin vers le fichier de base de données SQLite qui est utilisé pour stocker les logs Broks/messages. La valeur par défaut est « var/livelogs.db »
max_logs_age: temps de rétention maximum des messages de log (avant qu’ils ne soient supprimés de la base de données). La valeur par défaut est de 1 an. L’argument de ce paramètre prend la forme <numéro> [<period de temp>], où <period de temp> peut être d pour les jours, w pour les semaines, m pour les mois et y les années.
allowed_hosts: une liste séparée par des virgules des adresses IP qui sont autorisés à communiquer avec le port TCP. S’il vous plaît gardez à l’esprit que ceux-ci doivent être des adresses IP, PAS des noms d’hôte. Parce qu’une recherche
DNS pour chaque requête entrante livestatus pourrait avoir de la latence et donc bloquer le module.
Activer le module livestatus
Toujours dans le fichier /etc/shinken/shinken-specific.cfg , trouver le broker objet et ajouter « livestatus » à ses «modules»:
define broker{
broker_name broker-1
[...]
modules Simple-log,Livestatus
}
Désactiver human readable logs
Dans le fichier /etc/shinken/nagios.cfg, vérifiez que l’option human_timestamp_log est réglé sur 0.
Dans la version 0.6.5, vous ne pouvez pas avoir en même temps un simple fichier-journal avec horodatage lisible par un humain et une base de données livestatus.